wikipédia à jour au 28 février 2023 ; consulté le 5 mars 2023, en association avec Gabrel Attal, les très jeunes formés au PS et le quittant, à la manière d’Emmanuel Macron = l’erreur de Hollande
Olivier Dussopt |
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XIIIe, XIVe et XVe (Cinquième République) |
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Félix Meysen |
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Gilles Savary (délégué général) |
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Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics |
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Olivier Dussopt, né le 16 août 1978 à Annonay (Ardèche), est un homme politique français.
Membre du Parti socialiste jusqu'en 2017, député de la deuxième circonscription de l'Ardèche, élu le 17 juin 2007, il est le benjamin de l'Assemblée nationale pendant la XIIIe législature. Réélu en juin 2012, il est membre de la Commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République.
Alors qu'il s'inscrivait jusqu'alors dans l'opposition au second gouvernement Édouard Philippe, il est nommé secrétaire d'État en novembre 2017 dans ce même gouvernement. En 2020, il est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement Jean Castex.
Avec d'autres anciens socialistes, il fonde en 2020 le parti Territoires de progrès qui vise à rassembler l'aile gauche de la majorité, et prend sa présidence en 2021.
Le 20 mai 2022, il est nommé ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion dans le gouvernement Élisabeth Borne. Il est réélu député dans sa circonscription le 19 juin 2022 sous l’étiquette Ensemble.
En janvier 2023, il est visé par le parquet national financier pour des faits de favoritisme dans l'attribution de marchés publics.
Biographie
Origines et formation
Issu d’une famille ouvrière d’Annonay en Ardèche où il réside, il fait ses études à l'Institut d'études politiques de Grenoble et obtient un diplôme d'études supérieures spécialisées (DESS) de développement local et management de territoires1,2.
Débuts en politique
Après avoir occupé différents postes de chargé de mission, Olivier Dussopt est, de novembre 2002 à septembre 2006, collaborateur parlementaire de Michel Teston, sénateur et président du conseil général de l'Ardèche2.
Adhérent du Parti socialiste (PS) à partir de 2000, il est secrétaire de la section d’Annonay de mai 2001 à janvier 2008. De 2001 à 2003, il est animateur fédéral du Mouvement des jeunes socialistes en Ardèche. Premier secrétaire fédéral délégué de 2003 à 2007, il est chargé de la coordination, de la communication, des études et des élections.[réf. souhaitée]
Proche de la Nouvelle Gauche avec Benoît Hamon3, il est membre du Conseil national du Parti socialiste.
Mandats d'élu
Cette section ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires (décembre 2022).
Candidat aux élections régionales de 20044, il rejoint le conseil régional de Rhône-Alpes en juillet 2006 en remplacement d'Hélène Mira, démissionnaire. Il siège au sein du groupe socialiste.
Le 17 juin 2007, il est élu député de la deuxième circonscription de l'Ardèche, devenant le benjamin de l'Assemblée nationale3.
Mairie d'Annonay.
Le 10 décembre 2007, il annonce sa candidature aux élections municipales de mars 2008 dans la ville d'Annonay. Le 9 mars 2008, la liste d'union de la gauche « Annonay avenir » avec Olivier Dussopt à sa tête l'emporte dès le premier tour avec 68,9 % des voix5. Le 15 mars, il est élu maire par le nouveau Conseil municipal et démissionne peu après du Conseil régional pour cause de cumul des mandats. En avril 2008, il devient président du Syndicat mixte de l'Ardèche verte jusqu'en 2014.
À cette époque, il est classé à l'aile gauche du Parti socialiste, avec pour mentors Henri Emmanuelli, Benoît Hamon ou Martine Aubry6. En novembre 2008, dans la foulée du congrès de Reims où il a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, il intègre la direction nationale du PS, auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. En avril 2010, il devient vice-président de l'Association des petites villes de France (APVF) et en juin 2010 il devient vice-président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains auprès de Marylise Lebranchu de 2010 à 2012 puis Pierre Cohen comme 1er vice-président, puis comme vice-président aux questions d'organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l'élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.
Il est réélu député de l'Ardèche le 17 juin 2012 en obtenant 53,35 % des voix2. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.
Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu'au congrès de Toulouse.
Il est alors très proche de Martine Aubry7.
Le 21 mai 2013, il est désigné rapporteur de la commission des Lois pour le projet de loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles.
Candidat à sa propre succession aux élections municipales d'Annonay, il est réélu dès le premier tour le 23 mars 2014 avec 51,71 % des voix pour sa liste « Annonay Avance »5 face à trois listes (UMP, extrême droite et Front de Gauche). Les 12 et 13 juin 2014, lors des assises de l'APVF à Annonay, il en est élu président, succédant à Martin Malvy, président fondateur8.
En juin 2014, il est aussi désigné rapporteur de la commission des lois pour le projet de loi portant nouvelle organisation du territoire de la République et clarification des compétences des collectivités locales. Ce texte est promulgué le 9 août 2015. Olivier Dussopt est nommé membre de la commission nationale consultative des gens du voyage, au sein de laquelle il représente l'Assemblée nationale (JO du 13 octobre 2015). Il siège aussi, à partir de 2012, au conseil national d'aménagement et de développement du territoire[réf. nécessaire].
Il est près d'entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, soutenu à chaque fois par Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment7,9. En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l'un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 201710. Il ne parraine pas Benoît Hamon lors de l'élection présidentielle de 2017, étant notamment très hostile au revenu universel, et vote pour Emmanuel Macron dès le premier tour11.
Le 18 juin 2017, candidat socialiste, il est réélu député de la deuxième circonscription de l'Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !12. Il est l’un des rares députés PS à être réélus face à un candidat LREM7. À Annonay, ville dont il est maire, il réalise un score de 70,45 %.
Le 10 juillet 2017, en application de la loi interdisant le cumul d'un mandat parlementaire et d'une fonction exécutive locale, il quitte ses fonctions de maire d'Annonay et Antoinette Scherer, sa première adjointe depuis 2009, lui succède13. Le 21 septembre 2017, lors des 20es assises des petites villes de France, à Hendaye, il est reconduit comme président de l'APVF à l'unanimité des membres de l'assemblée générale14.
En juillet 2017, dans le cadre du projet de loi organique rétablissant la confiance dans l'action publique, Olivier Dussopt soutient un amendement, soutenu de longue date par la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) et finalement adopté, qui enrichit le code pénal d'une peine d'inéligibilité applicable aux personnes reconnues coupables de racisme, d'antisémitisme, de négationnisme, d'homophobie, d'incitation au terrorisme, d'apologie de crime contre l'humanité et de toute forme de discrimination15.
En octobre 2017, il intègre une mission d’expertise portant sur la réforme du financement des collectivités locales et de la fiscalité locale, sous la présidence d’Alain Richard, sénateur, ancien ministre, et à la demande du Premier ministre16. Il est aussi membre d’un groupe de travail « statut des collaborateurs » dans le cadre de la réforme de l’Assemblée nationale et il siège au conseil d’administration de l’association des députés employeurs.
Secrétaire d'État dans le gouvernement d'Édouard Philippe
Le 24 novembre 2017, il est nommé secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes publics, au sein du second gouvernement Édouard Philippe17,18. Si le décret de nomination ne précise pas son portefeuille exact, il est présenté par la presse comme de facto chargé de la Fonction publique19,20,21. Selon Contexte, « il lui arrive aussi de reprendre des dossiers auxquels Gérald Darmanin s’intéresse moins, comme la déontologie des fonctionnaires, les chantiers outre-mer »21. Aussitôt entré au gouvernement, il est chargé de la réforme de la fonction publique, qui prévoit notamment la suppression de 120 000 emplois11.
Le jour même de sa nomination, le Parti socialiste annonce qu'il n'en est plus membre22. Alors qu'il avait voté contre le budget présenté par le gouvernement23 en produisant un discours des plus éloquents, il défend âprement ce même budget devant le Sénat24. De plus les mois précédents, s'était abstenu lors du vote de confiance au gouvernement, avait voté contre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale ainsi que contre la loi Travail25,7. Il s'était également fait remarquer en 2014 pour avoir critiqué le ministre de l'Économie de l'époque, Emmanuel Macron, au sujet de sa déclaration jugée condescendante à l'égard des ouvrières de Gad, qualifiées « d'illettrées »26. Alors que le gouvernement mène une réforme des retraites qui prévoit notamment l'instauration d'un « âge pivot » de départ à 64 ans, Marianne rappelle qu'il faisait partie des 120 parlementaires socialistes contestant la conformité à la Constitution des mesures d'âge figurant dans la réforme de 2010, et qu'il avait interpellé Éric Woerth, ministre du Travail, en mettant en cause l'aspect « doublement injuste » de la « volonté de reculer l'âge de la retraite »27.
Selon L'Opinion, il est particulièrement apprécié d'Édouard Philippe, avec qui il « a tissé des liens solides »28. En décembre 2019, il est pressenti pour succéder à Jean-Paul Delevoye, qui démissionne de son poste de haut-commissaire aux retraites, mais Laurent Pietraszewski lui est préféré29.
Présenté par Paris Match comme un « symbole du socialisme municipal », il travaille à rallier des élus de gauche à LREM en vue des élections municipales de 202030. Avec Jean-Yves Le Drian et Didier Guillaume, sur sollicitation d'Emmanuel Macron, il travaille à la structuration de l'aile gauche de la majorité, qui tarde à aboutir et suscite des craintes de division au sein de LREM31,32,28. La démarche aboutit en février 2020, avec le lancement du parti Territoires de progrès, indépendant de LREM, qui « aspire à peser sur les orientations du gouvernement et à faire contrepoids à ses alliés du centre droit » selon son texte fondateur33.
Ministre délégué dans le gouvernement de Jean Castex
Le 6 juillet 2020, Olivier Dussopt est nommé ministre délégué chargé des Comptes publics dans le gouvernement Jean Castex, sous la première présidence d'Emmanuel Macron34.
Le 9 octobre 2021, il est élu président de Territoires de progrès, parti considéré comme « l'aile gauche » de la majorité présidentielle. Cette élection a eu lieu lors d'un congrès du parti à Bordeaux, réunissant 200 adhérents35. Il accepte en 2022 la demande d'Emmanuel Macron de fondre le parti dans la nouvelle formation présidentielle, Renaissance, ce qui lui vaut l'inimitié d'autres membres du parti, comme Gilles Savary11.
Ministre dans le gouvernement d'Élisabeth Borne
Le 20 mai 2022, il est nommé ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion dans le gouvernement Élisabeth Borne.
Olivier Dussopt, brocardé par des manifestants, en février 2023 à Troyes, pour le projet de réforme des retraites.
Il a en particulier pour responsabilité la mise en œuvre du recul à 65 ans de l’âge légal de départ à la retraite, l'une des mesures les plus importantes du programme électoral d'Emmanuel Macron36. Le projet de réforme des retraites présenté par Élisabeth Borne le 10 janvier 2023 prévoit un recul à 64 ans37. Dans les jours qui suivent, de nombreux médias exhument des images d'archives datant de 2010 où il s'opposait avec véhémence en tant que député du Parti socialiste au report de l'âge légal de 60 à 62 ans par le gouvernement Fillon38. Il justifie ce changement d'opinion par « une maturité politique » et une situation économique différente39.
Le 23 janvier 2023, le gouvernement a adopté en Conseil des ministres la réforme des retraites, affichant sa « détermination » à aller jusqu'au bout sans « renoncer » au report de l'âge de départ à la retraite40.
Prises de position
Il s'oppose en 2010 à la réforme des retraites de Nicolas Sarkozy, qui repousse de 60 à 62 ans l'âge minimum de départ : « Cette volonté est doublement injuste. D'une part, elle écarte d'emblée la recherche d'autres recettes, notamment la mise à contribution de l'ensemble des revenus et en particulier de ceux issus du capital. [...] D'autre part, [...] à la précarité et au taux de chômage historique qu'ils connaissent, vous allez ajouter l'infliction d'une double peine aux moins de trente ans en éloignant toujours plus le moment de leur départ en retraite11. »
En janvier 2011, dans le cadre du débat parlementaire sur la révision de la loi de bioéthique, Olivier Dussopt a déclaré : « Quand j'entends que, malheureusement, 96 % des grossesses pour lesquelles la trisomie 21 est déclarée débouchent sur un avortement, la vraie question que je me pose est : pourquoi il en reste 4 % ? ». Il a alors été accusé d'eugénisme et cette remarque a suscité en réaction une campagne publicitaire le citant nommément. À droite de la photo d'une fillette trisomique, cette assertion : « 96 % d'entre nous sont éliminés à l'issue du dépistage massif de la trisomie 21. (…) Au parlement, certains s'étonnent que nous soyons encore 4 % à survivre ». Pour sa part, Olivier Dussopt estime que ses propos ont été détournés et sortis de leur contexte41.
En septembre 2014, il interpelle le ministre Emmanuel Macron à l'Assemblée. Le Canard Enchaîné rapporte l'incident et dont la teneur est confirmée par Olivier Dussopt au Lab d'Europe1 : « Je me nomme Olivier Dussopt, je suis député de l'Ardèche. Ma mère est ouvrière, n'a pas de diplôme et a été licenciée à deux reprises. Vous l'avez insultée, ce matin sur Europe1 ». Il lui reproche d'avoir eu un comportement de « connard » et d'avoir fait preuve de « mépris » en déclarant au sujet des employées de Gad qu'elles sont « pour beaucoup illettrées ». Emmanuel Macron a exprimé ses regrets lors des questions au gouvernement. « J'ai des regrets parce que j'ai blessé des salariées et que je ne le voulais pas. Je ne m'en excuserai jamais assez »42.
Il est au sein du gouvernement considéré comme proche de Gérald Darmanin sur les questions en lien avec l'immigration11.
Soupçons de favoritisme lors de l'attribution de marchés publics
Cette section est liée à une affaire
judiciaire en
cours (août 2020).
Le
texte peut changer fréquemment, n'est peut-être pas à jour et peut
manquer de recul. N'hésitez
pas à participer à l'écriture de synthèse de manière neutre
et objective, en citant
vos sources. N'oubliez pas que, dans nombre de systèmes
judiciaires, toute personne est présumée
innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et
définitivement établie.
Le 20 mai 2020, le site d'informations Mediapart révèle qu'en janvier 2017, Olivier Dussopt s'est vu offrir des lithographies numérotées du peintre Gérard Garouste par un dirigeant local du groupe Saur, quelques jours après avoir annoncé un partenariat industriel avec le groupe Saur pour l'installation d'une micro-turbine hydroélectrique43.
Le don a lieu en pleine négociation d'un contrat. Ce contrat, négocié à partir de 2016, est signé en juin 201744,45. Ces œuvres sont estimées à un peu plus de 2 000 euros44. Par ailleurs, Olivier Dusspot ne les a pas déclarées alors que c'est obligatoire pour « les dons, avantages […] d'une valeur qu'ils estiment supérieure à 150 euros dont ils ont bénéficié à raison de leur mandat », selon le code de déontologie de l'Assemblée nationale46,45,44.
Après avoir déclaré que c'était un cadeau « d'un ami » - ce qui est par la suite démenti par l'intéressé - Olivier Dussopt reconnaît finalement que c'était bien un « cadeau de l'entreprise » et déclare « qu’il va le restituer »45. Il indique également qu'il saisit la déontologue de l'Assemblée nationale afin qu'elle « vérifie la conformité de [son] choix initial »45. Il réfute que ces cadeaux aient constitué des remerciements aux marchés (trafic d'influence) confiés à la Saur, affirmant que celle-ci a « remporté ces marchés » parce qu'elle « était la mieux-disante »45.
Une enquête du parquet national financier (PNF), confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), est ouverte pour « corruption » et « prise illégale d'intérêts »47. Le 18 août 2020, à l'occasion de la perquisition du domicile du ministre et de la Saur48, les enquêteurs découvrent des échanges entre Olivier Dussopt et l'entreprise semblant confirmer l'existence d'un arrangement autour d'un autre marché public, daté de 2009-201049,50.
En janvier 2023, le PNF retient l'infraction de « favoritisme » avec la Saur, un délit passible de deux ans de prison et 200 000 € d'amende51,49,52,53.
Prix et récompenses
Prix Tolerantia 201154
Notes et références
Olivier Faye et Thibaud Métais, « Olivier Dussopt, perdu pour la gauche », Le Monde.fr, 8 janvier 2023 (lire en ligne [archive], consulté le 18 janvier 2023)
Geoffrey Bonnefoy, « Olivier Dussopt (PS) : "Derrière la situation familiale, il y a une situation sociale" » [archive], sur Le Lab Europe 1, 30 juillet 2012 (consulté le 18 janvier 2023)
Chloé Durand-Parenti, Olivier Dussopt, benjamin de l'Assemblée [archive], Le Point, 21 juin 2007
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Les résultats des élections municipales d'Annonay [archive], Le Figaro.
Ilyes Ramdani, « Olivier Dussopt, le « traître » à l’épreuve des retraites » [archive], sur mediapart.fr, 5 février 2023 (consulté le 6 février 2023).
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François-Xavier Bourmaud, Tristan Quinault-Maupoil, Charles Sapin et Mathilde Siraud, « Promotion de Griveaux, nominations de Gény-Stephann et Dussopt », Le Figaro, samedi 25 / dimanche 26 novembre 2017, page 6.
« Primaire à gauche : Valls présente son QG et son état-major de campagne » [archive], lesechos.fr, 14 décembre 2016.
« Olivier Dussopt : de la gauche du PS à la macronie, l’ardeur du converti » [archive], sur L'Obs, 15 décembre 2022
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« Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, était auparavant contre le report de l'âge de la retraite » [archive], sur RMC (consulté le 13 janvier 2023)
« "Il faut assumer de mûrir": Olivier Dussopt justifie son changement de position sur les retraites » [archive], sur bfmtv.com (consulté le 13 janvier 2023)
[« Retraites : pour Olivier Dussopt, revenir sur les 64 ans « serait renoncer au retour à l’équilibre » du système » [archive], sur L'Obs avec l'AFP (consulté le 24 janvier 2023)
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Fabrice Arfi, Antton Rouget, Ellen Salvi, Marine Turchi, « Olivier Dussopt menacé d’un procès dans une affaire de marché truqué » [archive], sur Mediapart (consulté le 4 février 2023)
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Judith Silberfeld, « Les députés Franck Riester et Olivier Dussopt, lauréats du prix Tolerantia 2011 » [archive] yagg.com, 8 décembre 2011
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Olivier Dussopt, sur Wikimedia Commons
Olivier Dussopt, sur Wikiquote
Articles connexes
Liens externes
Ressources relatives à la vie publique
:
Ressource relative à l'audiovisuel
:
Gouvernement Édouard Philippe II (21 juin 2017 – 6 juillet 2020) jusqu'au remaniement du 16 octobre 2018 |
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Gouvernement Édouard Philippe II (21 juin 2017 – 6 juillet 2020) après le remaniement du 16 octobre 2018 |
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Gouvernement Jean Castex (6 juillet 2020 – 20 mai 2022) |
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Gouvernement Élisabeth Borne (depuis le 20 mai 2022) jusqu'au remaniement du 4 juillet 2022 |
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Gouvernement Élisabeth Borne (depuis le 20 mai 2022) après le remaniement du 4 juillet 2022 |
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Ministres français du Travail, des Affaires sociales et de l'Emploi (depuis 1906) |
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Ministres du Travail des États membres de l'Union européenne au 3 mars 2023 |
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Ministres du Travail des pays du G7 |
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