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heures 39 + J’adresse mes deux premiers chapitres politiques à l’Elysée, et en
confidence cachée à quelques amis.
Aux
destinataires de la présidence, je commente :
Voici
en pièces jointes, comme annoncé, quelque chose d'apparemment distractif que je
viens d'entreprendre après que me fut venue il y a trois mois l'idée d'une
présentation, pas trop fastidieuse, des propositions de politique générale que
je vous demande périodiquement de transmettre au Président. Le Président avait
commencé de les recevoir en esquisse dès qu'il fût candidat investi.
Hésitant
entre écrire un livre politique - d'abord selon une semi-commande de
"mon" éditeur : quelque chose sur la France que notre fille de neuf
ans a compris comme une interrogation-supposition : Si la France mentait... que je lui adresserai et qu'elle illustrera, puis
selon l'urgence présidentielle de ces mois-ci - ou approfondir à mes
soixante-dix ans (dont bientôt dix de mariage et de paternité) mon vécu
d'expérience affective, psychologique et sensuelle de la relation humaine à
autrui ... le bien public et le bien-être personnel : comment ? je n'arrivais
pas à choisir par lequel commencer.
Il m'est alors venu de faire un livre
double : alternativement un chapitre de sentiments vécus et un chapitre de
fiction politique.
Je vais vous adresser à mesure, cela
n'excèdera pas le mois calendaire, les chapitres politiques en premier jet.
Pour l'heure, j'ai changé les noms des deux premiers rôles, il est probable que
je les rendrai à leur identité, d'ailleurs explicite.
Je destine l'ensemble à l'édition et
souhaite paraître en début d'année, avant les municipales et surtout avant les
européennes, puisque le nerf de cette dialectique proposée au Président, est
européen.
Des autres à qui je demande pour la forme la discrétion (je doite
qu’ils consultent ce blog.), j’attends suggestions et appréciations, déjà un
jugement :
Mon courriel précédent,
dont vous êtes destinataire "caché", n'aura sans doute pas d'écho
chez ses destinataires explicites, mais comme ce que je dis "en forme
distractive" est urgent, autant ne pas attendre les hypothétiques édition et
succès de librairie. J'aurai au moins pris date.
Je vous demande de garder pour vous idée et
textes joints de manièr à ne pas les déflorer avant que je donne à l'éditeur
auquel je pense, mon texte abouti. Vous êtes sept français (dont ma chère
femme) de position et d'âge très différents les uns des autres, et trois
mauritaniens, à me lire ainsi.
Vous me rendrez grand
service en opinant sur l'idée de fond : raconter en simulation la mûe du
président en exercice, et aussi selon le temps que vous aurez ou pas de me
parcourir sur les propositions "concrètes" que j'avance - en fait que
j'ai ressassées par courriel et lettres à l'Elysée. Les propositions
européennes datent de la campagne présidentielle de 2006-2007, toujours pas
acueillies, alors qu'évidentes et nécessaires, et elles nous rendraient la
position d'inspirateur de l'ensemble de l'entreprise européenne. La pratique
référendaire, le plan, etc... ont déjà été plaidées auprès de VGE... ainsi que
le mode d'emploi d 'épistolier se réclamant de Fiévée, faiseur de notes d'ambiance
pour Napoléon jusqu'en 1813. Les observations sur le commerce international et
les dettes souveraines, sur l'emprunt direct citoyen et non aux
"zinzins" sont de circonstances, depuisla faillite grecque et la mise
au jour des agences de notation, de la spéculation ati-Etats et de la
complicité des banques.
Evidemment pour la forme
- je puis être complètement à côté et même ridicule. Pour le fond, je n'entends
toujours pas une synthèse de ce genre.
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