mercredi 6 novembre 2013

en adressant les deux premiers chapitres de la fiction politique



19 heures 39 + J’adresse mes deux premiers chapitres politiques à l’Elysée, et en confidence cachée à quelques amis.
Aux destinataires de la présidence, je commente :
Voici en pièces jointes, comme annoncé, quelque chose d'apparemment distractif que je viens d'entreprendre après que me fut venue il y a trois mois l'idée d'une présentation, pas trop fastidieuse, des propositions de politique générale que je vous demande périodiquement de transmettre au Président. Le Président avait commencé de les recevoir en esquisse dès qu'il fût candidat investi.
Hésitant entre écrire un livre politique - d'abord selon une semi-commande de "mon" éditeur : quelque chose sur la France que notre fille de neuf ans a compris comme une interrogation-supposition : Si la France mentait... que je lui adresserai et qu'elle illustrera, puis selon l'urgence présidentielle de ces mois-ci - ou approfondir à mes soixante-dix ans (dont bientôt dix de mariage et de paternité) mon vécu d'expérience affective, psychologique et sensuelle de la relation humaine à autrui ... le bien public et le bien-être personnel : comment ? je n'arrivais pas à choisir par lequel commencer.
 Il m'est alors venu de faire un livre double : alternativement un chapitre de sentiments vécus et un chapitre de fiction politique.
 Je vais vous adresser à mesure, cela n'excèdera pas le mois calendaire, les chapitres politiques en premier jet. Pour l'heure, j'ai changé les noms des deux premiers rôles, il est probable que je les rendrai à leur identité, d'ailleurs explicite.
 Je destine l'ensemble à l'édition et souhaite paraître en début d'année, avant les municipales et surtout avant les européennes, puisque le nerf de cette dialectique proposée au Président, est européen.
 Des autres à qui je demande pour la forme la discrétion (je doite qu’ils consultent ce blog.), j’attends suggestions et appréciations, déjà un jugement :
Mon courriel précédent, dont vous êtes destinataire "caché", n'aura sans doute pas d'écho chez ses destinataires explicites, mais comme ce que je dis "en forme distractive" est urgent, autant ne pas attendre les hypothétiques édition et succès de librairie. J'aurai au moins pris date.
 Je vous demande de garder pour vous idée et textes joints de manièr à ne pas les déflorer avant que je donne à l'éditeur auquel je pense, mon texte abouti. Vous êtes sept français (dont ma chère femme) de position et d'âge très différents les uns des autres, et trois mauritaniens, à me lire ainsi.
Vous me rendrez grand service en opinant sur l'idée de fond : raconter en simulation la mûe du président en exercice, et aussi selon le temps que vous aurez ou pas de me parcourir sur les propositions "concrètes" que j'avance - en fait que j'ai ressassées par courriel et lettres à l'Elysée. Les propositions européennes datent de la campagne présidentielle de 2006-2007, toujours pas acueillies, alors qu'évidentes et nécessaires, et elles nous rendraient la position d'inspirateur de l'ensemble de l'entreprise européenne. La pratique référendaire, le plan, etc... ont déjà été plaidées auprès de VGE... ainsi que le mode d'emploi d 'épistolier se réclamant de Fiévée, faiseur de notes d'ambiance pour Napoléon jusqu'en 1813. Les observations sur le commerce international et les dettes souveraines, sur l'emprunt direct citoyen et non aux "zinzins" sont de circonstances, depuisla faillite grecque et la mise au jour des agences de notation, de la spéculation ati-Etats et de la complicité des banques.
Evidemment pour la forme - je puis être complètement à côté et même ridicule. Pour le fond, je n'entends toujours pas une synthèse de ce genre.

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