mercredi 6 novembre 2013

en écrivant





16 heures 09 + Je me remets à mon pensum, à ce que je me suis donné à écrire, à l’utilité de quoi je crois, dont j’ai bien le plan et la dialectique en tête… la fiction politique, que je veux envoyer par paquets de deux-trois chapitres à l’Elysée à mesure de la première esquisse et en consultant aussi quatre-cinq lecteurs, les réactions pourront d’ailleurs s’intégrer à mon texte comme étant les réactions des correspondants du président en cours de mûe. Je rédigerai ensuite, alors que je pensais le faire en alternance, les chapitres du vécu affectif-sensuel-psychologique, soti en illustration du mouvement de la politique soit en rebond pour y ajouter. Deux problèmes en écritire, au moins selon ce que je vis : est-ce sérieux ? n’est-ce pas puéril ? autrement dit : cela vaut-il la peine ? et puis ne pas se faire c…, avoir du plaisir à… ce qui suppose de céder à l’appétit en ayant bien choisi ses plats. D’où mon intuition, ma trouvaille de Septembre : ne pas choisir entre deux projets de livres, mais n’en faire qu’un en deux écritures et déroulements alternatifs. L’écriture d’affection en fantasme ou en mémoire m’est familière, habituelle, elle est inépusioable en moi, le politique est plus difficile car il peut barber, d’où le choix de ma forme d’exposition.

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