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heures 09 + Je me remets à mon pensum, à ce que je me suis donné à écrire, à l’utilité
de quoi je crois, dont j’ai bien le plan et la dialectique en tête… la fiction
politique, que je veux envoyer par paquets de deux-trois chapitres à l’Elysée à
mesure de la première esquisse et en consultant aussi quatre-cinq lecteurs, les
réactions pourront d’ailleurs s’intégrer à mon texte comme étant les réactions
des correspondants du président en cours de mûe. Je rédigerai ensuite, alors
que je pensais le faire en alternance, les chapitres du vécu affectif-sensuel-psychologique,
soti en illustration du mouvement de la politique soit en rebond pour y ajouter.
Deux problèmes en écritire, au moins selon ce que je vis : est-ce sérieux ?
n’est-ce pas puéril ? autrement dit : cela vaut-il la peine ? et
puis ne pas se faire c…, avoir du plaisir à… ce qui suppose de céder à l’appétit
en ayant bien choisi ses plats. D’où mon intuition, ma trouvaille de Septembre :
ne pas choisir entre deux projets de livres, mais n’en faire qu’un en deux
écritures et déroulements alternatifs. L’écriture d’affection en fantasme ou en
mémoire m’est familière, habituelle, elle est inépusioable en moi, le politique
est plus difficile car il peut barber, d’où le choix de ma forme d’exposition.
mercredi 6 novembre 2013
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