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Chapitre 1
18/10/2013 à 22:55
le président et le dictateur
Le Président de la République
vient d’intervenir, hors programme, dès la fin de la rediffusion du chef
d’œuvre de Charlie Chaplin, « le dictateur » [1].
Tandis qu’au Parteitag de
Nuremberg, suivant juste l’Anschluss la doublure clocharde du redoutable
Fuhrer, au lieu des invectives habituelles, change totalement le registre de la
politique en donnant les béatitudes du Christ selon saint Luc, l’évangéliste,
l’annonce de cette intervention a commencé de sous-titrer le discours.
Ni au palais de l’Elysée, ni à
l’hôel de Matignon, il n’est possible d’obtenir la moindre précision sur
l’objet et la durée de l’allocution présidentielle. On est renvoyé à celle-ci
et il est assuré que l’on n’en sait pas plus que le télé-spectateur.
Malgré la notoriété de la fameuse
fiction politique de 1940 et l’indication que sa programmation se ferait avec
une copie entièrement rénovée, l’audience de la chaine franco-allemande était
très faible. Elle a sensiblement augmenté dès le sous-titrage annonçant la
prochaine apparition à l’écran d’un président n’ayant pas habitué les Français
à la surprise. Elle
vient d’exploser.
18/10/2013 à 22:59
le président et le dictateur (2)
Le Président a commencé par
présenter ses excuses pour le hors-programme. Il a salué ls téléspectateurs
allemands, a assuré qu’il était bien le barbier et pas du tout – toute
ressemblance eût été fortuite - Adenoïd Hynkel. Il a précisé qu’il n’était pas
non plus l’homme des Béatitudes, que d’ailleurs la République française, laïque
selon sa Constitution, ne peut demander à ses élus l’énoncé et les références
de leur foi, mais il a ajouté qu’il est tenu, depuis son élection, à la
fidélité de ce qu’il apparut aux Français quand il était candidat. Il entend
revenir à cette fidélité et pour gagner du temps, non le sien borné par la
Constitution, mais celui des Français et du pays à qui il souhaite la plus
grande espérance de vie, il a donc choisi d’intervenir maintenant et il dit
pourquoi.
18/10/2013 à 23:10 (3)
L’Elysée communique que le
Président a convoqué le Premier ministre et va s’entretenir avec lui avant
minuit. Il n’est pas précisé que la démission du gouvernement soit l’objet de
cet entretien.
18/10/2013 à 23:11
le président et le dictateur
Berlin - La chancelière allemande
communique avoir reçu au téléphone son homologue français, qui l’a entretenu du
film de Charlie Chaplin et de ce que peut être la surprise en politique. Pour
les Allemands, l’exemple-même a été donné le 9 Novembre 1989. Elle assur le
président Effach et les Français qu’elle-même et l’Allemagne sont
particulièrement attentifs à ce que vient d’exposer le Président de la
République française. Arte en Allemagne aussi a plus que décuplé son audience
pendant cet impromptu d’un quart d’heure, traduit en simultané..
vendredi 18 Octobre 2013 – 12
heures 25 à 15 heures 30
Journal du Président
Au palais, ce soir du vendredi 18 Octobre
2013
C’est fait. Je vais rester dormir ici, peut-etre même serait-il
républicain que ce devienne ma règle, au lieu de déplacer tant de gens et
d’avoir fait installer tant de choses chez nous pour diverses obligations qu’on
croit les miennes et que je n’ai pas à exercer. Dormir à l’Elysée puisqu
l’élection m’y a fait entrer. Respecter la décision populaire, pas ms
convenances ni celles de ma…Le palais est désert, silencieux, je viens de
raccompagner Héro jusqu’au porche. J’ai demandé à … de mettre en œuvre les
réceptions de messages, des milliers parait-il, que nous transfèrent Arte. Héro
n’était pas devant la télévision quand j’y suis passé. On ne l’a pas non plus
prévenu. Cela me rappelle, à ce qui m’en a été dit quand j’ai voulu, à la mort
de Marcantoni, savoir ce dont celui-ci avait été ou non responsable… j’avais
alors quinze ans… qu’aux premières nouvelles radiophoniques à la suite de la
découverte d’un cadavre dans une décharge aux environs de Paris qu’une très
importante personnalité pouvait être mêlé à l’affaire, personne n’était de
permamence aux écoûtes ce vendredi-là : la pause déjeuner. Couve de
Murville ne sut l’implication possible de Pompidou que quarante-huit heures
après ls premières interrogations du juge Patard. Héro a donc interrogé …qu’il
a pris avec lui en voiture pour venir ici puisque mon message avait été
transcrit comme la simple prière de venir conférer avec lui sur ce que je
venais de déclarer. C’est donc un ouï-dire que j’ai comme premier écho de ce
que je viens de faire. Il voulait me présenter la démission du gouvernement
puisque, selon lui, je viens de faire amende honorable pour nos dix-huit
premiers mois et de déclarer qu’au mieux ils constituaient pour le pays et nous
ses dirigants l’expérience désastreuse d’une continuité avec nos prédécesseurs
et que ce n’est pas ce qu les Français voulaient et veulent. Il résume assez
bien. Je lui ai demandé de rester, mais – décidément le passé… de Gaulle
refusant le jeudi 30 Mai la démission de Pompidou ou plutôt en suspendant les
effets, moyennant un morofond remaniement ministériel – de me proposer les
changements nécessaires. C’est simple, un gouvernement d’écoute pour quelques
jours ou semaines, je ne sais.
J’avais tout à l’heure la synthèse des réactions au transfert
inopiné de cette jeune fille kosovar du Haut-Doubs à Lyon pour une reconduite à
Pristina en famille, son père déjà là-bas d force depuis dix jours. Les
dernières comparaisons fiscales nous mettant à contre-courant des allègments
dans l’Union de la fiscalité des grandes entreprises, alors que je passe depuis
le vote de mon premier budget pour celui qui en demande davantage aux petits
qu’aux gros. La décision du Conseil constitutionnel refusant aux maires
l’objection de conscience quand des homosexuels se présentent pour être mariés,
mon imprudence en congrès de l’association national des maires d’avoir répété
mot à mot ce que me suggérait … à l’oreille, poour selon lui, calmer la salle. Ces deux nuits
d’avion et retour pour l’Afrique du sud : comment ai-j pu lire cette
phrase me faisant dire qu la France y avait été toujours du côté des opprimés,
alors que nous avons vendu non seulement Dassault mais toutes les armes
anti-émeutes et contribué au programme nucléaire. Je voulais tellement
m’échapper ces nuits-là que je me suis laissé prendre à commenter les résultats
de Brignoles. Le Canard…et le risible de mes observations et l’insoutenable de
mon optimisme pour ls scrutins à venir. Et ce voyage en Russie alors que je
suis battu froid par un Poutine auquel il m’est recommandé de ne rien dire que
du lénifiant sur les droits de l’homme, une autre jeun fille en train de mourir
d’épuisement en camp de travail seize heures par jour, les rythmes de
Mauthausen. J’ai eu le mouvement de tout lâcher, trop de monde tous les jours,
trop de déplacements en province comme si – à l’imitation des éditeurs ayant
commncé à la fin des années 1960 et au début de la politique-spectacle selon la
télégénie ds candidats (suis-je télégénique ?) à placer en quatrième de
couverture la photo. de complaisance de leur auteur – me voir et me faire voir
me ferait comprendre et apprécier des Français.
Elle est prise ce soir… elle a dû rentrer, je ne la réveillerai pas
en ne revenant que maintenant, raison de plus plus pour rester ici… m’a-t-elle
regardé ? J’ai eu la sensation quand, pendant le discours du nouvel Hynkel,
sont arrivés les gens d’Arte et que nous avons choisi où nous opèrerions, que
ma tenue vstimentaire, mon port de cravate, la non-couleur de mes chemises ne
seraient pas un handicap. J’ai été porté porté par ce discours, surprenant, que
le film ne faisait pas du tout attendre. Comment Arte a-t-elle pu en quelque
minutest me donner techniquement cette possibilité ? Ce sont ces
réminiscences de Pompidou en 68-69 qui m’ont fait bondir. Son intrvention à la
suite du trio Geismar Cohn-Bendit et un troisième, dégoisant à loisir sur la
chaine publique, alors monopoliste et en grève sauf pour les… on n disait ni
les émeutiers ni les manifestants, mais les étudiants… ils n’en avaient pas la
tête ni les propos… cela ne se tenait guère, je les ai regardés, en famille
nous n’étions pas de lur côté… mon père en tout cas, pas gaulliste non plus. Le
Premier ministre a eu le génie d’intervenir à leur suite, sans solution de
continuité : la
réplique. Ce fut fascinant, même pour moi.
C’est…
Monsieur le Président, le
texte de ce que vous avez dit tout à l’heure. Voulez-vous relire la
transcription ? le diffuse-t-on ? l’étranger et la province, la
presse sont demandeurs. D’ordinaire vos interventions leur sont connues à
l’avance, sous embargo. Embarras général. En Allemagne, Arte redonne votre
moment à l’antenne.
Je n’ai autant dire rien modifié. Il faudra que je donne la genèse
de ce mouvement qui m’a fait passer d’une perspective de soirée sur des
dossiers et compte-rendus – que des faits accomplis – n’apportant rien à
personne, pas même informatifs. Ma colère n’ayant rien compris à cette note
pour ma présidence d’une réunion sur l’économie numérique, a été rapporté par
la presse, cela m’a plu. Une soirée à lire et annoter, tandis que le petit
téléviseur sur ma table de travail était en position : muet. Noir et
blanc, Arte… Courrier arrivée, des lettres. L’une devenait une habitude non du
lecteur que je n’étais pas directement pour un signataire que je connais
vaguement de nom, peut-être de vue, mais pour celui-ci. M’écrire régulièrement
et à ce qui vient de m’être dit, courieller au secrétaire général sur des
points d’actualité. Un mot, en fin de page mais pas de lettre : angélisme
qui serait votre réalisme… Je suis passé à l’acte, mimer le pseudo-Hynkel.
Ai-je alors oublié que je suis le président de la République, le vrai et non le
barbier de la fiction ?Donc, diffusion. Je n’ai pas littéralement dit – de
Gaulle à Londres en fin de sa première mise en ondes – demain comme
aujourd’hui, je parlerai… Avantage fortuit, les Allemands m’ont écouté dans un
contexte qui leur est propre, en même temps que les Français. C’est une
première.
Si je continue demain, c’est pour aller à l’avenir en réduisant mes
premers mois d’exercice à une démonstration de ce à quoi nous ne pouvons plus
croire, et moi à faire croire. Inutile de demander des fiches ni le point où
nous en sommes. Je lirai, selon le hasard des piles de lettres, des synthèses
d’appels téléphoniques, des réactions de presse ce qui a été compris et surtout
ce qui est attendu de moi. Je dois rendre hommage à l’humilité du gouvernement
qui s’est dès les premiers mois dessaisi des décisions pour mieux exercer un
droit de parole disant bien notre embarras à tous. J’ai eu le tort de ne pas
persévérer vis-à-vis de Peugeot : la mise en liquidation de leur banque
soutenant les ventes à crédit les aurait rendu plus imaginatifs, ce que nous
leur avons prêté les établit en Chine. Tort de ne pas laisser les syndicats
discuter avec Mittal, leurs représentants soutenus par nous et la menace d’une
nationalisation auraient intimidé le bonheur plus que je n’ai su le faire, je
n’avais aucune logique. Sans doute, l’effacement de Montebourg qui ne voulait
plus voir l’Indien en France nous a donné un investissement substantiel à
Dunkerque, mais moitié moindre que ce que Tapie a reçu de l’Etat selon
l’arbitrage qui sera probablement annulé, non pour corruption des
insoupçonnables qui l’ont rendu, mais pour un artifice de procédure oublié de
tous. Je le dirai rapidement. On ne m’attend qu’au nouveau cours. Comment
l’énoncer ? je ne le discerne même pas. Mon épistolier…
19/10/2013 à 01:22
l’intervention
présidentielle à la suite de Charlie Chaplin
La présidence de la République
confirme que M. Héro, Premier ministre, reste en place, chargé de faire du
gouvernement actuel une équipe d’écoute et de mise en forme du dialogue noué
hier soir par M. Effach avec les Français.
Le Président devrait poursuivre
demain soir son inventaire des possibilités du pays et des instruments à mettre
en œuvre. La boîte à outils qu’il avait popularisée il y a quelques mois va donc
s’enrichir.
Le Président a refusé qu’Arte
qu’il continue de privilégier par égard pour la fidélité initiale de ses
habitués, change quoi que ce soit aux arrangements de présentation, improvisés
hier soir. La bibliothèque du palais de l’Elysée doit rester le plus simple
décor.
Le Président ne change en rien
son agenda ni son audiencier pour les prochains jours.
samedi 19 Octobre 2013 – 21
heures à 22 heures 40
-
[1] - Wikipédia – en ligne 18 Octobre
2013
Le Dictateur
Charlie
Chaplin dans la scène du discours d'Hynkel
Synopsis
Lors de la Première Guerre mondiale, dans un pays
imaginaire nommé la Tomanie et ressemblant beaucoup à l'Allemagne,
un soldat maladroit sauve la vie d'un pilote
de chasse nommé Schultz. Le soldat et Schultz réussissent à s'enfuir en
avion mais celui-ci s'écrase et le soldat est blessé. Devenu amnésique,
il passe de longues années à l'hôpital, coupé du monde. Entre temps, la
Tomanie est devenue un régime dictatorial, de type fasciste,
dirigé par Adenoïd Hynkel et les Juifs sont persécutés.
Finalement le soldat sort de l'hôpital et reprend son
métier de barbier dans sa boutique, qui a été incluse dans
un ghetto
juif. Le barbier est lui-même juif et peu au courant de l'évolution
politique et sociale de son pays, ni du fait qu'il est un parfait sosie du
dictateur.
Arrêté lors d'une rafle, il est accusé
de comploter contre le régime d'Hynkel et se retrouve en camp de
concentration avec Schultz. Tous les deux finissent par s'évader au moment où
la Tomanie envahit l'Österlich.
Finalement, les soldats confondent les deux
personnages : Hynkel est arrêté comme fugitif tandis que le barbier pris
pour le dictateur est contraint de prendre sa place et improviser un discours à
la radio. Dans
son discours, le barbier défend la liberté de tous les humains, et prône la
tolérance, la démocratie et la paix.
- Société de production : United Artists
- Budget: 2 000 000 $
- Pays : États-Unis
- Langue : anglais
- Format : Noir et blanc - 1,33:1 - mono - 35 mm (RCA Sound System)
- Genre cinématographique : comédie
- Durée : 2 h 05
- Dates de sortie :
- États-Unis : 15 octobre 1940 (première à New York)
- Royaume-Uni : 15 décembre 1940
- États-Unis : 7 mars 1941
- France : 4 avril 1945
- Italie : 9 octobre 1946
- Allemagne de l'Ouest : 26 août 1958
- Tous publics
Tournage
Mis à part la fin du film, très émouvante, celui-ci
présente une suite de gags visuels ou de situations drôles. On peut citer
notamment les scènes lorsque le dictateur Hynkel joue avec un globe
terrestre gonflable, ou lorsque son homologue de Bactéria (un État
imaginaire inspiré de l'Italie fasciste) et lui rivalisent sur la hauteur
de leurs sièges respectifs.
Une des scènes poignantes
du film est celle, vue uniquement de dos, où le barbier regarde longuement
brûler sa boutique. Elle sera citée dans plusieurs ouvrages consacrés au
langage visuel dans le cinéma. Une autre scène mémorable est celle, à la fin du
film, du discours final du barbier, qui, ayant pris l’identité de Hynkel, se
lance dans un long et émouvant plaidoyer pour la paix et l'amitié entre les peuples, aux
antipodes du discours raciste et haineux du véritable Hynkel, plus tôt dans le
film.
Accueil public et critique
Le Dictateur
fut un succès populaire (et le plus grand succès de Chaplin). Il fut projeté à Londres pendant
la bataille d'Angleterre et nommé aux Oscars.
Il sortit sur les écrans en France en 1945. Il demeure le
film de Chaplin ayant eu le plus de succès en salles en France, avec plus de 8
millions d'entrées.
Malheureusement, il eut de mauvais débuts. Il fut
interdit en Allemagne jusqu'à la fin de la guerre, mais Hitler se le fit
projeter 2 fois en privé. Aux États-Unis, il eut des mauvaises critiques du
fait de la réticence de l'opinion publique à une entrée en guerre.
Aujourd'hui, le film est internationalement reconnu
comme un chef-d’œuvre. Il est classé comme meilleur film de tous les temps
selon la presse sur le site Allociné
à égalité avec Les moissons du ciel de Terrence
Malick, Les chaussons rouges de Michael
Powell et Emeric Pressburger, Il était un père de Yasujiro
Ozu, L'Éventail de Lady
Windermere d'Ernst Lubitsch, ET l'extra-terrestre de Steven
Spielberg, Le Mécano de la « General », de Clyde
Bruckman et Buster Keaton, Les poings dans les poches de Marco
Bellocchio, El
topo d'Alejandro Jodorowsky, In girum imus nocte et
consumimur igni de Guy Debord, Mon oncle
de Jacques
Tati, Voyage au bout de l'enfer de Michael
Cimino, Kagemusha, l'ombre du guerrier de Akira
Kurosawa, et Aguirre, la colère de Dieu de Werner
Herzog; ces 14 films ayant obtenus la note critique maximale de 5 étoiles.
Accueil en Allemagne
Hitler fit interdire le film en Allemagne, mais il
s’en procura une copie qu’il se fit projeter en privé à deux reprises5.
Chaplin, quand il apprit la nouvelle, dit qu'il donnerait n'importe quoi pour
savoir ce qu'en avait pensé Hitler6.
Cependant, Albert Speer, l'architecte d'Hitler, a nié que
celui-ci ait jamais vu le film7. L'historien
britannique Kevin Brownlow pense avoir trouvé des preuves selon
lesquelles le Führer aurait vu des projections privées du film[réf. nécessaire].
En pleine guerre, l'initiative de Nikola Radošević, un
projectionniste
d'une salle de cinéma de Belgrade en Serbie, qui venait de trouver une copie grecque du film,
Le Dictateur fut projeté à la place d'un autre film prévu pour cette
séance dans la salle de cinéma d'un pays occupé par les Allemands. Pendant 40
minutes, le public regarda le film avec intérêt, jusqu'à ce qu'un SS se
trouvant dans la salle tire en direction de l'écran, entraînant une évacuation
du cinéma8.
Controverses
Chaplin subit des pressions de la United
Artists à propos de ce film politiquement sensible (les États-Unis
n'étaient pas encore engagés dans le conflit mondial à cette époque), mais
celui-ci sortit néanmoins six mois après la fin du tournage.
Le film fut censuré en Espagne (jusqu'en
1975), en Allemagne
(jusqu'en 1945, date
de sortie 1958),
ainsi qu'en Irlande qui, voulant rester neutre durant le conflit
européen, refusait la mention sous quelque forme que ce soit, de la guerre. Dès lors, le
film de Chaplin fut censuré au motif qu'il aurait pu provoquer des émeutes9.
vendredi 18 Octobre 2013 – 12
heures 25 à 15 heures 30
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