Endormi en réfléchissant à mon livre, les deux récits parallèles, 1° en vie et
sentiment, expérience et remède à l’impuissance sexuelle, souvenirs d’images, de
rencontre, le plaisir ne s’évoque qu’en absence 2° en politique, la réflexion
sur le dire du second soir, sans doute à l’occasion du budget, la planification,
mais c’est aride, journal du président, le commentaire ce matin d’Augustin au
texte du jour : le désir, prière continue. Quel est le désir de FH, il
s’interroge. Il découvre l’imagination. Mon livre, c’est la recherche de l’âme,
dans la vie du corps, du fantasme, dans l’attirance et enfin dans la gerbe
tranquille en toute saison de l’amour reçu, décidé, stable, grâce mystérieuse
faisant notre identité, n tout cas assemblant nos forces et faisant de nos
faiblesses une offrande. La recherche d’une âme d’un pays et comment
l’approcher, la faire s’incarner en chacun par le soin, la médication subtil du
politique. Faire du suprême, mais ce que j’écris en est si loin. Mesure
d’audience en mettant les chapitres un par un sur mes deux blogs,
l’écrire et lire pour les deux registres et le voir et
entendre seulement pour la fiction
politique. Dépêches d’agence, journal du président, plaquette de la mise au net
de ses improvisations-causeries du soir, références à nos grands et vrais
politiques : la fiction.
Mes images, situations et ma tentative de pénétrer l’autre,
version féminine, permission et divination de l’amour par anticipation, mûe de
tout par la consécration qui ne peut arriver qu’une fois, les sacrements d’état
et non de comportement. Liturgie dans les deux registres…
dimanche 20 octobre 2013
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